Les spécialistes de la contrefaçon s’attaquent en effet de plus en plus souvent, et dans des proportions de plus en plus importantes, aux marques de consommation courante. On a connu des médicaments contrefaits ou des produits de luxe ; il s’agit cette fois de café.
Les douaniers de la DNRED (Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières) sont tombés, vendredi 3 juillet, sur un camion contenant 9 800 paquets d’un café identifié comme étant L’Or — un produit parmi les plus prisés des consommateurs français, numéro trois sur le marché français (et même numéro un dans le secteur des dosettes Nespresso).
Après quelques recherches, ils ont pu mettre la main sur l’entrepôt d’où provenait le camion. Jackpot : ils ont pu saisir 174 000 paquets de café contrefait, ce qui représente rien moins que 43 tonnes ! Une saisie record donc : l’an dernier, les douaniers avaient saisi environ 250 000 articles de nourriture contrefaits, pour un total de 8,8 millions d’articles contrefaits.
Cette affaire L’Or va certainement faire remonter les statistiques. Quant à savoir si le produit est commercialisé dans les rayons ou s’il est impropre à la consommation, l’enquête le déterminera.
Les douaniers de la DNRED (Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières) sont tombés, vendredi 3 juillet, sur un camion contenant 9 800 paquets d’un café identifié comme étant L’Or — un produit parmi les plus prisés des consommateurs français, numéro trois sur le marché français (et même numéro un dans le secteur des dosettes Nespresso).
Après quelques recherches, ils ont pu mettre la main sur l’entrepôt d’où provenait le camion. Jackpot : ils ont pu saisir 174 000 paquets de café contrefait, ce qui représente rien moins que 43 tonnes ! Une saisie record donc : l’an dernier, les douaniers avaient saisi environ 250 000 articles de nourriture contrefaits, pour un total de 8,8 millions d’articles contrefaits.
Cette affaire L’Or va certainement faire remonter les statistiques. Quant à savoir si le produit est commercialisé dans les rayons ou s’il est impropre à la consommation, l’enquête le déterminera.