En l’état des négociation, « la France dit non » au traité (Tafta ou TTIP) qui transformera les États-Unis et l’Europe en immense marché commun. La révélation par Greenpeace des documents de négociations a soulevé de sérieuses craintes liées à la santé, à l’environnement, mais aussi à l’agriculture et à des pans entiers de l’économie, notamment pour le vieux continent.
« Jamais nous n'accepterons la mise en cause des principes essentiels pour notre agriculture, notre culture, pour la réciprocité pour l'accès aux marchés publics », a ajouté le chef de l’État, qui a rappelé que la France avait posé des « principes » pour les normes sanitaires, alimentaires, sociales, culturelles et environnementales.
Le président de la République a aussi souligné qu’« on ne peut pas signer un accord mondial, la COP21, et avoir une négociation commerciale qui ne respecterait pas les principes environnementaux ». Il exige que « ces échanges soient basés sur la réciprocité, fondés sur des principes, y compris environnementaux ». C’est dire si les discussions entre les deux blocs posent de sérieux problèmes à ce niveau.
« Jamais nous n'accepterons la mise en cause des principes essentiels pour notre agriculture, notre culture, pour la réciprocité pour l'accès aux marchés publics », a ajouté le chef de l’État, qui a rappelé que la France avait posé des « principes » pour les normes sanitaires, alimentaires, sociales, culturelles et environnementales.
Le président de la République a aussi souligné qu’« on ne peut pas signer un accord mondial, la COP21, et avoir une négociation commerciale qui ne respecterait pas les principes environnementaux ». Il exige que « ces échanges soient basés sur la réciprocité, fondés sur des principes, y compris environnementaux ». C’est dire si les discussions entre les deux blocs posent de sérieux problèmes à ce niveau.