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Les voitures électriques sont sans nul doute le futur de l’industrie de l’automobile, mais outre les limitations techniques (un véhicule, en moyenne, roule seulement 130 kilomètres), il faut aussi lever les obstacles financiers. Un décret, repéré par Les Echos, devrait être pris pour obliger les acteurs de la filière à s’entendre entre eux.
Le modèle ici est le groupement des cartes bancaires : tous les joueurs du marché vont pouvoir se facturer les paiements de leurs clients. Ces derniers n’auront plus à se soucier de se rendre dans une borne dont ils possèdent un abonnement spécifique… En plus d’éviter le cumul des abonnements, cette interopérabilité aura pour effet de créer de nouveaux usages (informations sur la disponibilité des bornes), mais aussi de pousser les clients potentiels vers la voiture électrique.
Plusieurs initiatives privées ont d’ailleurs vu le jour autour de cette idée ; mais il y un hic : Bolloré, le plus important acteur du secteur avec 16 000 bornes à installer d’ici 2019, n’est pas très partant à l’idée de partager des informations avec la concurrence…
Le modèle ici est le groupement des cartes bancaires : tous les joueurs du marché vont pouvoir se facturer les paiements de leurs clients. Ces derniers n’auront plus à se soucier de se rendre dans une borne dont ils possèdent un abonnement spécifique… En plus d’éviter le cumul des abonnements, cette interopérabilité aura pour effet de créer de nouveaux usages (informations sur la disponibilité des bornes), mais aussi de pousser les clients potentiels vers la voiture électrique.
Plusieurs initiatives privées ont d’ailleurs vu le jour autour de cette idée ; mais il y un hic : Bolloré, le plus important acteur du secteur avec 16 000 bornes à installer d’ici 2019, n’est pas très partant à l’idée de partager des informations avec la concurrence…