La semaine dernière, Emmanuel Macron faisait part de ses interrogations concernant cette mesure, voulue par son prédécesseur François Hollande, et que le locataire actuel de l'Élysée avait déjà repoussé d'un an après son élection. Gérald Darmanin, le ministre des Comptes publics, a déjà eu l'occasion de rassurer, y compris à la suite de la publication d'une note du fisc faisant état de nombreuses erreurs après des tests du prélèvement à la source. Ce mardi, c'est Edouard Philippe qui a fait le point pendant le journal de 20 Heures de TF1.
« Nous avons fait le travail sérieusement. Nous avons posé des questions, vérifié, testé. Je pense pouvoir dire avec assurance que le 1er janvier, tout se passera dans d'excellentes conditions », a déclaré le Premier ministre, confirmant ainsi la mise en œuvre de cette réforme, alors même qu'il avait été question d'un nouveau report, voire d'une annulation. Dès janvier donc, les Français découvriront leur feuille de paie amputée du prélèvement mensuel de leur impôt sur le revenu.
Edouard Philippe veut également prendre les contribuables « au sérieux » — cette réforme concerne 38 millions de foyers fiscaux. « Les Français savent qu'ils devront payer l'impôt. Pour ceux qui sont mensualisés, ils payent à l'administration fiscale le montant sur 10 mois qu'ils doivent. Le prélèvement mensuel sera maintenant sur 12 mois, donc inférieur », balaie le Premier ministre alors que la crainte d'une perte de pouvoir d'achat est réelle. Malgré tout, l'exécutif a voulu aller de l'avant.
« Nous avons fait le travail sérieusement. Nous avons posé des questions, vérifié, testé. Je pense pouvoir dire avec assurance que le 1er janvier, tout se passera dans d'excellentes conditions », a déclaré le Premier ministre, confirmant ainsi la mise en œuvre de cette réforme, alors même qu'il avait été question d'un nouveau report, voire d'une annulation. Dès janvier donc, les Français découvriront leur feuille de paie amputée du prélèvement mensuel de leur impôt sur le revenu.
Edouard Philippe veut également prendre les contribuables « au sérieux » — cette réforme concerne 38 millions de foyers fiscaux. « Les Français savent qu'ils devront payer l'impôt. Pour ceux qui sont mensualisés, ils payent à l'administration fiscale le montant sur 10 mois qu'ils doivent. Le prélèvement mensuel sera maintenant sur 12 mois, donc inférieur », balaie le Premier ministre alors que la crainte d'une perte de pouvoir d'achat est réelle. Malgré tout, l'exécutif a voulu aller de l'avant.