Le mois dernier, le nombre de chômeurs de catégorie A (qui n'ont exercé aucune activité) a augmenté de 22 300 personnes de plus qu'en avril en France métropolitaine. C'est 0,6% de plus. Il y a 3 494 100 chômeurs de cette catégorie en France. En comptant les deux autres catégories B et C, on atteint le chiffre de 5 560 800. Et même de 5 864 000 si on ajoute à la métropolitaine les départements d'outre-mer.
Pour ce qui concerne la seule catégorie A, la progression du chômage concerne tous les âges : +3% pour les jeunes jusqu'à 25 ans, +0,8% pour les 25 - 49 ans, +0,5% pour les plus de 49 ans. Tout cela n'est guère encourageant, mais si on prend les chiffres sur une plus longue durée, la tendance reste à la baisse. Depuis un an, les chômeurs de catégorie A ont en effet reculé de 0,8% (métropole) et de 0,7% avec l'outre-mer. En revanche, les trois principales catégories (A, B et C) voient le chômage progresser de 2,3% (métropole et Dom).
Ces chiffres pour le mois de mai n'appellent pas de commentaires de la part de Muriel Pénicaud. La ministre du Travail avait prévenu, le mois dernier, qu'il en sera désormais ainsi. Elle estime en effet que l'indicateur mensuel ne reflète pas l'évolution du marché du travail ; ce dernier peut en effet être affecté par des événements circonstanciels de nature administrative.
Pour ce qui concerne la seule catégorie A, la progression du chômage concerne tous les âges : +3% pour les jeunes jusqu'à 25 ans, +0,8% pour les 25 - 49 ans, +0,5% pour les plus de 49 ans. Tout cela n'est guère encourageant, mais si on prend les chiffres sur une plus longue durée, la tendance reste à la baisse. Depuis un an, les chômeurs de catégorie A ont en effet reculé de 0,8% (métropole) et de 0,7% avec l'outre-mer. En revanche, les trois principales catégories (A, B et C) voient le chômage progresser de 2,3% (métropole et Dom).
Ces chiffres pour le mois de mai n'appellent pas de commentaires de la part de Muriel Pénicaud. La ministre du Travail avait prévenu, le mois dernier, qu'il en sera désormais ainsi. Elle estime en effet que l'indicateur mensuel ne reflète pas l'évolution du marché du travail ; ce dernier peut en effet être affecté par des événements circonstanciels de nature administrative.