(c) Shutterstock/EconomieMatin
Ces chiffres donnés par l’Insee montrent que la reprise semble vouloir frapper à la porte. Cette tendance commence en tout cas à laisser penser que le scénario d’une croissance à 0,3% pour le premier trimestre de l’année est de plus en plus plausible, si on y rajoute les autres indicateurs que sont le logement et la baisse du chômage de janvier.
Même si li les mois de février et de mars devaient marquer le pas, l’acquis de croissance en termes de consommation de biens manufacturés est d’ores et déjà de 1%.
En janvier, les ménages ont dépensé près de 43,5 milliards d’euros; c’est le niveau le plus élevé depuis mars 2011. Tous les secteurs en ont profité, de l’automobile avec une progression de 3,2%, en passant par l’équipement pour le logement (+1,4%). Les dépenses en textile signent elles leur quatrième mois de hausse consécutive, grâce surtout aux soldes.
La vitalité des dépenses des ménages s’explique en partie par les mesures prises par le gouvernement, notamment la suppression de la première tranche de l’impôt. D’autres facteurs externes expliquent aussi cette croissance, comme l’inflation basse et les prix de l’énergie en recul, qui constituent une bouffée d’oxygène pour le portefeuille des Français.
Même si li les mois de février et de mars devaient marquer le pas, l’acquis de croissance en termes de consommation de biens manufacturés est d’ores et déjà de 1%.
En janvier, les ménages ont dépensé près de 43,5 milliards d’euros; c’est le niveau le plus élevé depuis mars 2011. Tous les secteurs en ont profité, de l’automobile avec une progression de 3,2%, en passant par l’équipement pour le logement (+1,4%). Les dépenses en textile signent elles leur quatrième mois de hausse consécutive, grâce surtout aux soldes.
La vitalité des dépenses des ménages s’explique en partie par les mesures prises par le gouvernement, notamment la suppression de la première tranche de l’impôt. D’autres facteurs externes expliquent aussi cette croissance, comme l’inflation basse et les prix de l’énergie en recul, qui constituent une bouffée d’oxygène pour le portefeuille des Français.