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Entre les deux trimestres, l’enthousiasme est largement retombé. Les ménages avaient profité de la baisse des prix du pétrole et de la reprise générée par des taux d’intérêt en berne et une baisse sérieuse du taux de change de l’euro. Au début du second trimestre, les choses ont légèrement changé avec un baril qui est légèrement remonté.
Plus grave, la reprise n’a pas permis de ralentir le chômage, voire d’en inverser la courbe. Et s’il n’y a pas de travail, il n’y a pas d’argent pour consommer. Du côté des entreprises, les investissements continuent de faire défaut malgré une situation bien plus favorable : baisse du coût du travail, marges revenues au niveau de 2006… Les patrons affichent malgré tout leur pessimisme, avec un moral noté 97 alors que la moyenne au long terme est de 100.
Tous ces éléments ne poussent pas à la consommation effrénée de biens et de services. La confiance des ménages est pour le moment stable à 94 points, mais la moyenne est là aussi de 100. Ce baromètre avait tout de même augmenté de 8 points entre les mois d’octobre 2014 et avril 2015.
Plus grave, la reprise n’a pas permis de ralentir le chômage, voire d’en inverser la courbe. Et s’il n’y a pas de travail, il n’y a pas d’argent pour consommer. Du côté des entreprises, les investissements continuent de faire défaut malgré une situation bien plus favorable : baisse du coût du travail, marges revenues au niveau de 2006… Les patrons affichent malgré tout leur pessimisme, avec un moral noté 97 alors que la moyenne au long terme est de 100.
Tous ces éléments ne poussent pas à la consommation effrénée de biens et de services. La confiance des ménages est pour le moment stable à 94 points, mais la moyenne est là aussi de 100. Ce baromètre avait tout de même augmenté de 8 points entre les mois d’octobre 2014 et avril 2015.