(c) Shutterstock/EconomieMatin
De 4 millions d’euros en 2010, le marché de la cigarette électronique a explosé pour représenter trois années plus tard 275 millions. On comprend mieux dès lors l’éclosion anarchique des boutiques permettant de s’équiper et d’acheter les recharges liquides.
Des 10 millions de Français qui ont testé la cigarette électronique, 1,5 million sont restés adeptes. Ceux-là sont déjà équipés et tout ce dont ils ont besoin désormais, c’est de recharges liquides. Le maillage serré du territoire français (2 500 boutiques) va donc se réduire fortement : on évoque la fermeture de 500 échoppes rien que pour cette année.
L’avenir semble donc s’assombrir pour tous ceux qui ont parié sur le vapotage qui, il est vrai, a bénéficié d’un certain flou législatif : on peut vapoter dans des lieux publics, dans les parcs, dans les bars, et même au bureau. Tout cela va évoluer, et pas dans le bon sens pour les adeptes de l’e-cigarette : le gouvernement a l’intention d’interdire le vapotage au bureau.
Des 10 millions de Français qui ont testé la cigarette électronique, 1,5 million sont restés adeptes. Ceux-là sont déjà équipés et tout ce dont ils ont besoin désormais, c’est de recharges liquides. Le maillage serré du territoire français (2 500 boutiques) va donc se réduire fortement : on évoque la fermeture de 500 échoppes rien que pour cette année.
L’avenir semble donc s’assombrir pour tous ceux qui ont parié sur le vapotage qui, il est vrai, a bénéficié d’un certain flou législatif : on peut vapoter dans des lieux publics, dans les parcs, dans les bars, et même au bureau. Tout cela va évoluer, et pas dans le bon sens pour les adeptes de l’e-cigarette : le gouvernement a l’intention d’interdire le vapotage au bureau.