Les usagers de la SNCF n’ont pas à subir de perturbations dans les transports. Un trafic « normal » a annoncé l’entreprise, avec simplement des « adaptations » en Occitanie et en Aquitaine qui n’ont pas été visibles des voyageurs, poursuit la SNCF. Pourtant, la CGT a déposé un préavis de grève de 24 heures pour ce jeudi, mais l’arrêt de travail a été très peu suivi par des cheminots sans doute épuisés par ces trois mois de grève perlée du printemps qui leur ont fait perdre de l’argent. Un mouvement qui n’a pas non plus porté ses fruits.
La CGT entendait faire pression sur la rencontre entre les syndicats et le patronat qui doivent avancer sur la convention collective nationale du secteur ferroviaire. Celle-ci remplacera le statut cheminot à partir de 2020. Mais l’absence de mobilisation a privé la centrale d’un porte-voix. Il faut dire que la CGT était bien seule à vouloir batailler ce jeudi. Les syndicats réformistes, la CFDT et l’Unsa, ont dès la fin de la grève du printemps fait savoir qu’ils ne poursuivront pas le mouvement durant l’été.
SUD Rail, le partenaire habituel de la CGT, n’a de son côté guère apprécié de voir que la date de l’arrêt de travail avait été décidé sans son aval. Les deux syndicats ont voulu poursuivre le mouvement les 6 et 7 juillet, durant le premier gros week-end de départs en vacances. Mais la mobilisation a été très faible (de l’ordre de 6,5% des cheminots) et les perturbations, minimes. Une nouvelle journée d’action est prévue le 27 juillet.
La CGT entendait faire pression sur la rencontre entre les syndicats et le patronat qui doivent avancer sur la convention collective nationale du secteur ferroviaire. Celle-ci remplacera le statut cheminot à partir de 2020. Mais l’absence de mobilisation a privé la centrale d’un porte-voix. Il faut dire que la CGT était bien seule à vouloir batailler ce jeudi. Les syndicats réformistes, la CFDT et l’Unsa, ont dès la fin de la grève du printemps fait savoir qu’ils ne poursuivront pas le mouvement durant l’été.
SUD Rail, le partenaire habituel de la CGT, n’a de son côté guère apprécié de voir que la date de l’arrêt de travail avait été décidé sans son aval. Les deux syndicats ont voulu poursuivre le mouvement les 6 et 7 juillet, durant le premier gros week-end de départs en vacances. Mais la mobilisation a été très faible (de l’ordre de 6,5% des cheminots) et les perturbations, minimes. Une nouvelle journée d’action est prévue le 27 juillet.