Great Wall a une entreprise dans sa ligne de mire : le groupe italo-américain Fiat Chrysler Automobiles (FCA). Le prétendant a fait connaitre son intérêt auprès de FCA, et a demandé à rencontrer le conseil d'administration, sans toutefois déposer d'offre ferme. Il faut dire que Great Wall navigue à vue dans ce dossier. Sa capitalisation boursière est de 14 milliards d'euros, contre 17 milliards pour FCA… surtout, Great Wall a surtout des vues sur Jeep.
Or, les marques détenues par FCA comptent non seulement Jeep, mais aussi Ram, Maserati ou encore Alfa Romeo. Le constructeur automobile présentera son plan stratégique sur cinq ans en 2018 : à cette occasion, on saura quelles sont ses intentions, et les observateurs analyseront si l'entreprise a l'intention de vendre quelques unes de ses marques. Jeep serait particulièrement intéressant puisque sa valorisation est estimée à 23 milliards d'euros… plus que la capitalisation boursière de la maison-mère !
FCA fait quoi qu'il en soit face à des défis aussi bien conjoncturels (la réglementation plus sévère en matière d'émissions polluantes) que structurels : hausse des coûts, et surtout développement accru de l'automobile électrique et autonome. Un afflux d'argent frais provenant de la vente d'une des marques du groupe serait sans doute une manière rapide de trouver de l'argent frais pour faire face à ces difficultés.
Or, les marques détenues par FCA comptent non seulement Jeep, mais aussi Ram, Maserati ou encore Alfa Romeo. Le constructeur automobile présentera son plan stratégique sur cinq ans en 2018 : à cette occasion, on saura quelles sont ses intentions, et les observateurs analyseront si l'entreprise a l'intention de vendre quelques unes de ses marques. Jeep serait particulièrement intéressant puisque sa valorisation est estimée à 23 milliards d'euros… plus que la capitalisation boursière de la maison-mère !
FCA fait quoi qu'il en soit face à des défis aussi bien conjoncturels (la réglementation plus sévère en matière d'émissions polluantes) que structurels : hausse des coûts, et surtout développement accru de l'automobile électrique et autonome. Un afflux d'argent frais provenant de la vente d'une des marques du groupe serait sans doute une manière rapide de trouver de l'argent frais pour faire face à ces difficultés.