La deuxième plus importante compagnie aérienne européenne reste toujours assez loin de sa concurrente Ryanair, qui elle a transporté 117 millions de personnes sur l’année dernière. Toutefois, difficile de bouder son plaisir du côté de l’entreprise britannique, qui est parvenue à maintenir un fort taux de remplissage (91,5%), malgré une petite baisse de 0,1 point.
EasyJet a joué une fois encore sur la corde tarifaire pour attirer les voyageurs en quête de petits prix. La baisse des prix du pétrole a donné de l’air à la compagnie, qui en a largement profité, tout comme la concurrence d’ailleurs. En ce qui concerne le marché français, un porte-parole a précisé que les attentats n’avaient pas eu d’impact significatif sur le taux de remplissage — même s’il a fallu revoir à la baisse les tarifs, de manière ponctuelle.
Il en va de même concernant le Brexit. Certes, il y a bien eu la dépréciation de la livre sterling qui a dégradé les résultats de l’entreprise, mais cette dernière libellant ses coûts en dollars et en euros, là aussi l’impact est limité. Les choses pourraient se corser quand le Royaume-Uni aura quitté formellement l’Union européenne : les compagnies du pays devront avoir un certificat de transporteur aérien dans l’UE pour continuer à opérer sur le continent. EasyJet a pris les devants, en recherchant activement ce certificat.
EasyJet a joué une fois encore sur la corde tarifaire pour attirer les voyageurs en quête de petits prix. La baisse des prix du pétrole a donné de l’air à la compagnie, qui en a largement profité, tout comme la concurrence d’ailleurs. En ce qui concerne le marché français, un porte-parole a précisé que les attentats n’avaient pas eu d’impact significatif sur le taux de remplissage — même s’il a fallu revoir à la baisse les tarifs, de manière ponctuelle.
Il en va de même concernant le Brexit. Certes, il y a bien eu la dépréciation de la livre sterling qui a dégradé les résultats de l’entreprise, mais cette dernière libellant ses coûts en dollars et en euros, là aussi l’impact est limité. Les choses pourraient se corser quand le Royaume-Uni aura quitté formellement l’Union européenne : les compagnies du pays devront avoir un certificat de transporteur aérien dans l’UE pour continuer à opérer sur le continent. EasyJet a pris les devants, en recherchant activement ce certificat.