Dropbox est né en 2007. Le principe est simple : l'utilisateur stocke ses documents sur les serveurs de l'entreprise afin d'y avoir accès en tout temps, de n'importe où dans le monde et ce, peu importe l'ordinateur. Un service efficace, pour peu bien sûr qu'on soit couvert par un réseau Wi-Fi ou cellulaire. La rumeur courait depuis plusieurs années d'une introduction en Bourse (IPO), c'est désormais officiel. Dropbox entend lever 500 millions de dollars auprès d'investisseurs privés pour financer sa croissance.
Le dépôt des documents auprès de la SEC permet d'en savoir plus sur la santé financière de l'entreprise. Dropbox a embrassé le modèle dit « freemium », qui se compose d'une offre gratuite et d'un forfait payant, qui permet de bénéficier de plus d'espace de stockage en ligne. L'en dernier, Dropbox a atteint le seuil des 500 millions d'utilisateurs, dont 100 millions d'inscriptions uniquement en 2017. L'entreprise compte 11 millions d'abonnés payants, ce qui lui a permis d'engranger 1,1 milliard de dollars l'année dernière.
Dropbox accuse également des pertes de 111,7 millions de dollars, un résultat meilleur qu'en 2016 (210,2 millions de pertes). La société prévient également les futurs actionnaires qu'elle ne sera peut-être jamais rentable : un écueil que l'on rencontre chez beaucoup d'autres start-ups venues tenter leur chance en Bourse. Dropbox, qui portera le nom DBX, avait été valorisée à hauteur de 10 milliards de dollars en 2014. Deux rivaux, Box et Atlassian, sont d'ores et déjà cotés et ils affichent des capitalisations de 3,2 et 12,4 milliards de dollars.
Le dépôt des documents auprès de la SEC permet d'en savoir plus sur la santé financière de l'entreprise. Dropbox a embrassé le modèle dit « freemium », qui se compose d'une offre gratuite et d'un forfait payant, qui permet de bénéficier de plus d'espace de stockage en ligne. L'en dernier, Dropbox a atteint le seuil des 500 millions d'utilisateurs, dont 100 millions d'inscriptions uniquement en 2017. L'entreprise compte 11 millions d'abonnés payants, ce qui lui a permis d'engranger 1,1 milliard de dollars l'année dernière.
Dropbox accuse également des pertes de 111,7 millions de dollars, un résultat meilleur qu'en 2016 (210,2 millions de pertes). La société prévient également les futurs actionnaires qu'elle ne sera peut-être jamais rentable : un écueil que l'on rencontre chez beaucoup d'autres start-ups venues tenter leur chance en Bourse. Dropbox, qui portera le nom DBX, avait été valorisée à hauteur de 10 milliards de dollars en 2014. Deux rivaux, Box et Atlassian, sont d'ores et déjà cotés et ils affichent des capitalisations de 3,2 et 12,4 milliards de dollars.