Au terme de discussions au plus haut niveau entre les États-Unis et l'Union européenne, Donald Trump a finalement cédé : la Maison Blanche ne taxera pas les importations d'aluminium et de métal provenant d'Europe. C'est une décision temporaire certes, mais cela confirme que les menaces émises par l'Union de taxer en retour des produits américains emblématiques provenant d'États favorables au président américain ont fini par payer. Dans la foulée, Donald Trump confirme aussi l'exemption pour six autres pays, dont le Canada et le Mexique. En bout de course, qui reste-t-il ? La Chine est la principale visée, même si ses importations de métal et d'aluminium sur le sol américain restent faibles.
La Chine était aussi dans le collimateur du président américain quand, ce jeudi 22 mars, il a décidé de prélever pour 50 à 60 milliards de dollars de taxes douanières sur les importations de produits chinois. De quoi rallumer les feux d'une guerre commerciale entre les deux pays… En ce qui concerne l'Union européenne, on se félicite de l'assouplissement américain. Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement, a devant les caméras de Public Sénat déclaré qu'il était « heureux » que Donald Trump ait changé d'avis sur ces augmentations de droits de douane.
Pour Benjamin Griveaux, « c'était une mauvaise décision de l'administration américaine à l'endroit évidemment de l'industrie européenne et de la France avec une industrie qui aurait souffert de cette augmentation unilatérale de droits de douane ». Du côté de l'Allemagne, le ministre de l'Économie Peter Altmaier salue également l'exemption des importations européennes, qui auraient pu conduire à une « grande incertitude » pour l'industrie du pays. Il plaide pour plus de coopération et de stabilité du commerce international.
La Chine était aussi dans le collimateur du président américain quand, ce jeudi 22 mars, il a décidé de prélever pour 50 à 60 milliards de dollars de taxes douanières sur les importations de produits chinois. De quoi rallumer les feux d'une guerre commerciale entre les deux pays… En ce qui concerne l'Union européenne, on se félicite de l'assouplissement américain. Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement, a devant les caméras de Public Sénat déclaré qu'il était « heureux » que Donald Trump ait changé d'avis sur ces augmentations de droits de douane.
Pour Benjamin Griveaux, « c'était une mauvaise décision de l'administration américaine à l'endroit évidemment de l'industrie européenne et de la France avec une industrie qui aurait souffert de cette augmentation unilatérale de droits de douane ». Du côté de l'Allemagne, le ministre de l'Économie Peter Altmaier salue également l'exemption des importations européennes, qui auraient pu conduire à une « grande incertitude » pour l'industrie du pays. Il plaide pour plus de coopération et de stabilité du commerce international.