En novembre, ce sont plus de 180 000 voitures neuves qui ont été enregistrées. Il s'agit d'une progression de 10,3% par rapport au mois de novembre 2016, ou encore de 5,1% à nombre de jours ouvrés comparables. Une progression remarquable, qui s'inscrit dans une tendance forte observée depuis le début de l'année. En onze mois, la croissance des ventes d'immatriculations neuves s'établit à 5,3%, bien au delà donc de l'estimation du CCFA dont la fourchette oscillait entre 3 et 4%. Le marché devrait dépasser les 2 millions d'immatriculations neuves cette année ; il en est déjà à 1,92 million.
Les constructeurs français tirent tout spécialement leur épingle du jeu avec une progression moyenne de 20% en novembre. Le groupe PSA en particulier montre une croissance vigoureuse de ses immatriculations neuves : +34,1%. Un chiffre qui s'explique notamment par l'apport des ventes d'Opel, qui a rejoint le giron du groupe cet été. Mais les marques « historiques » de PSA se défendent aussi très bien : +24,5% pour Peugeot, +10,78% pour Citroën, et même +13,84% pour DS alors que la marque haut de gamme n'a cessé de dévisser ces derniers mois. Le groupe PSA représente 32% du marché français.
Renault a rencontré plus de difficultés, faute de nouveautés particulières. La marque au losange ne progresse ainsi que 3,2%, mais sa filiale low cost Dacia de 14,1%. En tout, le constructeur français connait une croissance de ses immatriculations neuves de 5,3% ; sa part de marché en France est de 24,2%, en recul de 1,1 point. Globalement, les ventes de voitures essence dépasse les motorisations diesel (47,8% contre 46,7%). Les véhicules 100% électrique ont représenté 0,9% des immatriculations neuves.
Les constructeurs français tirent tout spécialement leur épingle du jeu avec une progression moyenne de 20% en novembre. Le groupe PSA en particulier montre une croissance vigoureuse de ses immatriculations neuves : +34,1%. Un chiffre qui s'explique notamment par l'apport des ventes d'Opel, qui a rejoint le giron du groupe cet été. Mais les marques « historiques » de PSA se défendent aussi très bien : +24,5% pour Peugeot, +10,78% pour Citroën, et même +13,84% pour DS alors que la marque haut de gamme n'a cessé de dévisser ces derniers mois. Le groupe PSA représente 32% du marché français.
Renault a rencontré plus de difficultés, faute de nouveautés particulières. La marque au losange ne progresse ainsi que 3,2%, mais sa filiale low cost Dacia de 14,1%. En tout, le constructeur français connait une croissance de ses immatriculations neuves de 5,3% ; sa part de marché en France est de 24,2%, en recul de 1,1 point. Globalement, les ventes de voitures essence dépasse les motorisations diesel (47,8% contre 46,7%). Les véhicules 100% électrique ont représenté 0,9% des immatriculations neuves.