Le carton est tel que Pokémon GO bat à plate couture des jeux qui, pourtant, ont connu et connaissent toujours le succès. Avec 200 millions de dollars générés en un mois, le titre développé par le studio Niantic dépasse allègrement le résultat obtenu, sur la même période, par Clash Royale. Et l’engouement ne devrait pas se tarir de si tôt, aussi bien du côté des joueurs (des mises à jour du jeu sont prévues) que des annonceurs.
Au Japon, les créateurs de Pokémon GO ont signé un partenariat avec la chaîne McDonald’s pour transformer les enseignes en « haltes Pokémon » où l’on peut acheter des objets pour les créatures attrapées ici et là. Mais ce qui fait la fortune de Niantic et de la Pokémon Company, ce sont les achats des joueurs dans l’application. Si le jeu est gratuit, on peut acquérir, contre argent sonnant et trébuchant, des pièces afin d’accélérer la croissance de ses Pokémons.
Nintendo, qui détient un tiers du capital de la Pokémon Company, est aussi un bénéficiaire du succès du jeu… Tout comme Apple et Google, qui touchent une commission de 30% sur chaque transaction réalisée dans la boutique du jeu.
Au Japon, les créateurs de Pokémon GO ont signé un partenariat avec la chaîne McDonald’s pour transformer les enseignes en « haltes Pokémon » où l’on peut acheter des objets pour les créatures attrapées ici et là. Mais ce qui fait la fortune de Niantic et de la Pokémon Company, ce sont les achats des joueurs dans l’application. Si le jeu est gratuit, on peut acquérir, contre argent sonnant et trébuchant, des pièces afin d’accélérer la croissance de ses Pokémons.
Nintendo, qui détient un tiers du capital de la Pokémon Company, est aussi un bénéficiaire du succès du jeu… Tout comme Apple et Google, qui touchent une commission de 30% sur chaque transaction réalisée dans la boutique du jeu.