Cette dernière proposition a attisé les débats car elle frappe l'imaginaire. Le Trésor, dans un rapport sur les conséquences économiques de l'obésité, propose en effet de taxer les aliments au delà d'un certain niveau de calories, ou en fonction de leur qualité nutritionnelle. Un dispositif qui a l'avantage de la simplicité et qui pourrait rapidement porter ses fruits.
En 2012, le coût social de l'obésité était estimé à 20 milliards d'euros, soit 1% du PIB, ou encore l'équivalent des coûts liés au tabac et à l'alcool. Mais cette idée de the n'a pas la faveur du gouvernement. Christian Eckert, secrétaire d'État au Budget, a déclaré sur RTL qu'il n'était pas question de "regrouper toutes les taxes en une seule taxe qui tiendrait compte des calories".
Pour son ministre de tutelle Michel Sapin, il s'agit de ne pas créer de nouvelle taxe, alors que le gouvernement tente justement de baisser les impôts. Un argument qui peut s'entendre alors que la campagne électorale pour l'élection présidentielle est en train de chauffer...
En 2012, le coût social de l'obésité était estimé à 20 milliards d'euros, soit 1% du PIB, ou encore l'équivalent des coûts liés au tabac et à l'alcool. Mais cette idée de the n'a pas la faveur du gouvernement. Christian Eckert, secrétaire d'État au Budget, a déclaré sur RTL qu'il n'était pas question de "regrouper toutes les taxes en une seule taxe qui tiendrait compte des calories".
Pour son ministre de tutelle Michel Sapin, il s'agit de ne pas créer de nouvelle taxe, alors que le gouvernement tente justement de baisser les impôts. Un argument qui peut s'entendre alors que la campagne électorale pour l'élection présidentielle est en train de chauffer...