Les chiffres, obtenues par la radio auprès des grands réseaux d’agences immobilières, sont spectaculaires. Chaque mois, ce sont 20% d’acheteurs supplémentaires qui apparaissent sur le marché, tandis que le nombre de biens à la vente se réduit de 15%. Immanquablement, cette situation provoque une flambée des prix. RTL prend un exemple parlant : un appartement parisien de 50 mètres carrés coûte 20 000 euros de plus qu’il y a trois mois !
Le jeu de l’offre et de la demande fait grimper les prix, et si les vendeurs en profitent nécessairement, les acheteurs continuent de bénéficier d’un accès accommodant au crédit. Les biens partent donc vite. Et cela ne devrait pas se calmer dans les mois qui viennent, malgré l’élection présidentielle qui, habituellement, fait office de pause sur le marché de la pierre.
Les acheteurs qui n’ont pas encore jeté leur dévolu sur un bien s’empressent actuellement de le faire, voyant les prix qui augmentent, ce qui accélère encore la hausse des prix. Les choses commenceront sans doute à se calmer dès que les taux d’intérêt remonteront. Ils sont au plus bas depuis l’été dernier. Il faut également savoir qui sera le nouveau locataire de l’Élysée, car de l’élection découle habituellement une nouvelle fiscalité en particulier quand on parle d’alternance comme aujourd’hui.
Le jeu de l’offre et de la demande fait grimper les prix, et si les vendeurs en profitent nécessairement, les acheteurs continuent de bénéficier d’un accès accommodant au crédit. Les biens partent donc vite. Et cela ne devrait pas se calmer dans les mois qui viennent, malgré l’élection présidentielle qui, habituellement, fait office de pause sur le marché de la pierre.
Les acheteurs qui n’ont pas encore jeté leur dévolu sur un bien s’empressent actuellement de le faire, voyant les prix qui augmentent, ce qui accélère encore la hausse des prix. Les choses commenceront sans doute à se calmer dès que les taux d’intérêt remonteront. Ils sont au plus bas depuis l’été dernier. Il faut également savoir qui sera le nouveau locataire de l’Élysée, car de l’élection découle habituellement une nouvelle fiscalité en particulier quand on parle d’alternance comme aujourd’hui.